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        Ce que nous sommes.....                                                                                                   Dernière mise à jour : 15/08/2025

Pourquoi il est important de libérer toute la République populaire de Donetsk

par Sergueï Mirkine

 

Depuis 2015, j’ai souvent entendu dire que pour parvenir à la paix le Donbass devait être divisé entre les républiques populaires de Donetsk/Lougansk et l’Ukraine. Et après la réunification de la RPD et de la RPL avec la Russie, certains ont avancé la thèse selon laquelle il fallait diviser la région entre la Russie et l’Ukraine selon la ligne de front. En gros, puisque Kiev ne renonce pas volontairement au Donbass, pour mettre fin au bain de sang, il faut laisser aux parties au conflit les territoires qu’elles contrôlent actuellement.

En 2024, un de mes amis m’a dit que puisque Marioupol était libérée, que les forces armées ukrainiennes avaient été chassées d’Avdeievka et que Donetsk était désormais à l’abri des tirs d’artillerie, toutes les autres localités n’avaient plus autant d’importance et qu’il ne fallait pas gaspiller de temps et d’énergie à les libérer.

Mais ce n’est pas une juste vision des choses. Tout le Donbass doit être libéré de l’occupation ukrainienne.

Avant toute chose, il s’agit de personnes. Le 11 mai 2014, le vote pour l’indépendance de la RPD a eu lieu dans toute la république. Y compris à Krasnoarmeïsk, où la situation était très difficile : les nervis ukrainiens de la région de Dnipropetrovsk avaient pris le contrôle des bureaux de vote et du comité exécutif municipal, mais les gens sont quand même allés voter, au risque d’être battus, voire tués par les nazis. Et les membres de la commission électorale de Krasnoarmeïsk ont réussi, dans ces conditions difficiles, à acheminer les bulletins de vote à Donetsk. Les habitants de Kramatorsk et de Slaviansk ont voté activement, malgré le fait que des combats faisaient déjà rage dans les environs, et parfois même dans les villes elles-mêmes. On ne peut oublier comment, dans les environs de Slaviansk, des gens non armés ont bloqué des véhicules militaires ukrainiens, tout en sachant qu’ils risquaient d’être abattus par les forces de répression. Comment oublier ces gens ?

On pourrait me répondre : « Cela fait 11 ans. Certains de ceux qui ont voté au référendum sont morts, beaucoup se sont résignés à la situation et sont devenus sensibles aux discours de la propagande ukrainienne. Les autres sont partis, certains à Donetsk, d’autres en Ukraine, d’autres encore en Russie. Selon le gouverneur de Krasnoarmeïsk, Sergueï Dobryak, il reste 1 327 habitants dans la ville. Même si c’est le cas, ils méritent d’être libérés.

Je connais des gens qui ont refusé l’évacuation ukrainienne d’Artiomovsk et sont restés dans les caves de la ville, où les combats faisaient rage, pour attendre que les soldats russes libèrent la ville. Je pense qu’il y a aussi des gens comme ça à Krasnoarmeïsk. De plus, une personne peut quitter sa ville natale, mais cela ne signifie pas qu’elle l’a rayée de son cœur.

La situation à Marioupol en est un exemple. La Russie reconstruit la ville à un rythme effréné, et les Ukrainiens y reviennent en masse, ce que même les médias occidentaux sont obligés de reconnaître. Il en sera de même pour Krasnoarmeïsk et d’autres localités de la RPD, lorsqu’elles feront partie de la Russie et que la vie paisible commencera à s’y installer. Beaucoup de gens retourneront dans leurs villes natales, et aucune propagande ukrainienne ne pourra l’empêcher.

En outre, sans le retour de la partie nord de la république dans la RPD, il est impossible de résoudre le problème de l’eau dans la république. Actuellement, une nouvelle crise de l’eau sévit : à Donetsk, l’eau est distribuée tous les trois jours pendant quelques heures, à Marioupol tous les deux jours, à Yenakievo tous les quatre jours. De plus, l’eau n’arrive souvent pas aux étages supérieurs, et les gens doivent descendre au sous-sol pour remplir des seaux ou attendre l’arrivée du camion-citerne. Le problème s’atténue progressivement, par exemple grâce à la construction de l’aqueduc Don-Donbass et au transfert de l’eau d’un réservoir à l’autre, mais il ne pourra être complètement résolu que lorsque toutes les installations hydrauliques du canal Seversky Donets-Donbass seront sous le contrôle de la Russie.

En 2022, l’Ukraine a coupé l’alimentation électrique de plusieurs ascenseurs du canal, imposant ainsi un blocus hydraulique à la RPD. Priver des millions de personnes d’approvisionnement en eau, c’est en fait un génocide. Mais l’Occident a toujours fermé les yeux sur ces « détails ». Il ne faut donc pas s’attendre à ce que l’Ukraine rétablisse l’approvisionnement en eau en cas de fin de la guerre.

Il est également important de comprendre qu’en Ukraine, beaucoup détestent les habitants du Donbass. Le propagandiste ukrainien Dmitri Gordon a suggéré aux habitants de Donetsk de boire de l’urine s’ils avaient des problèmes d’eau. Et il n’est pas le seul. Ceux qui ont le cerveau lavé par le Maïdan ne pardonneront jamais au Donbass de s’être soulevé contre ceux qui ont pris le pouvoir en commettant un coup d’État.

La laure de la Sainte-Dormition de Svyatogorsk est située à l’extrême nord de la république. C’est un lieu où se rendaient des gens de tout le Donbass, et pas seulement du Donbass. Peut-on laisser la laure entre les mains d’un État dont les dirigeants sont des nazis païens d’Azov (organisation interdite en Fédération de Russie) ? Il est même étrange d’imaginer que la laure passe un jour sous le contrôle d’une organisation appelée l’Église orthodoxe ukrainienne.

Et, bien sûr, la cohérence économique de la région est importante. À Krasnoarmeïsk, on trouve du charbon à coke, nécessaire aux entreprises métallurgiques de la région. Autrefois, la mine Krasnoarmeïskaïa-Zapadnaïa était la plus rentable d’Ukraine : son charbon est considéré comme l’un des plus chers et des plus qualitatifs. À Kramatorsk, l’usine de construction mécanique produisait des machines minières pour l’extraction, notamment du charbon, et des équipements pour la production métallurgique. Et ainsi de suite. Il s’agit donc d’un cluster industriel complet du Donbass, qui ne peut exister efficacement que dans le cadre d’un réseau de villes et d’industries interconnectées.

Le Donbass est beaucoup plus efficace et naturel dans son ensemble que par parties.

Les valeurs de la civilisation.Lorsque 12 journalistes français ont été assassinés,

le monde entier s' est rassemblé à Paris avec pour injonction du reste de la population, d' être Charlie.

Pas une bougie n' aura été allumée pour la mort de près de 300 de leurs confrères à Gaza.

 

Le prochain G20 entre affirmation du Sud et désengagement occidental

Après un sommet remarqué en 2024, le G20 se tiendra en novembre prochain sous la présidence de l’Afrique du Sud. Pour la première fois depuis sa création en 1999, le forum aura lieu sur le sol africain. Tout un symbole, à l’heure des grands bouleversements géopolitiques et du repli sur soi des puissances occidentales.

C’est une étape supplémentaire après l’intégration de l’Union africaine comme membre à part entière, officialisée l’an dernier lors du sommet de Rio de Janeiro. L’édition 2025 sera placée sous le thème « Solidarité, Égalité et Durabilité ». Tout un programme, alors que les membres du G7 (Allemagne, Canada, États-Unis, France, Italie, Japon, Royaume-Uni) annonçaient la mort prochaine de ce forum depuis plus de dix ans.

Un « agenda du Sud »… et sans les États-Unis !

Pourtant, ces dernières années, le G20 a retrouvé un nouveau souffle, porté par la dynamique des puissances émergentes. Le sommet annuel s’impose de plus en plus comme un espace de négociation incontournable, où même les puissances occidentales doivent se rendre, participer… et parfois céder. Dernier exemple en date : la création d’une « alliance mondiale pour combattre la faim et la pauvreté », signée par l’ensemble des membres du G20 et les pays invités, soit 83 États au total.

Symbole du désengagement américain, Donald Trump a récemment indiqué qu’il ne participerait « probablement pas » au sommet. Son secrétaire d’État, Marco Rubio, avait déjà boycotté la réunion des ministres des Affaires étrangères en février, dénonçant l’agenda sud-africain comme « anti-américain » et déclarant ne pas vouloir « gaspiller l’argent des contribuables pour financer de l’antiaméricanisme ». Une déclaration qui illustre, une fois de plus, le rejet du multilatéralisme par Washington.

Une absence qui ne suscite pas forcément la tristesse des autres participants. Car si l’on peut regretter ce retrait à l’heure où les coopérations internationales sont impératives, le président sud-africain Cyril Ramaphosa entend bien en profiter pour « inscrire plus fermement les priorités des pays du Sud à l’ordre du jour ».

Industrie, coût du capital et financement mondial

Sous le triptyque « Solidarité, Égalité et Durabilité », Pretoria souhaite aborder des sujets très concrets. Trois priorités ont été désignées comme « essentielles » pour les pays du Sud : la croissance économique et l’industrialisation, la sécurité alimentaire et le développement technologique (avec l’intelligence artificielle notamment).

Loin des résolutions purement symboliques, l’Afrique du Sud veut faire émerger des décisions applicables rapidement. Parmi ses propositions, figure la création d’une « Commission sur le coût du capital », chargée d’examiner les causes profondes de l’endettement des pays en développement. En ligne de mire : les taux d’emprunt inéquitables, allant de 1 à 4 % pour les pays dits « avancés », contre jusqu’à 15 % pour les économies les plus pauvres.

En définitive, ce G20 devrait être à nouveau une place forte de la recomposition internationale — un moment que la France ferait bien de saisir pour renouer un dialogue constructif avec les puissances émergentes.

Le G20 en chiffres

PIB mondial

80–85 %

Commerce international

75–80 % du total mondial

Population mondiale

60–66 %

Croissance (T1 2025)

+3,4 % (glissement annuel)

Membres du G20 : Afrique du Sud, Allemagne, Arabie saoudite, Argentine, Australie, Brésil, Canada, Chine, Corée du Sud, États-Unis, France, Inde, Indonésie, Italie, Japon, Mexique, Royaume-Uni, Russie, Turquie, Union européenne, et désormais Union africaine.

Esteban Evrard , Liberté Actus

La Russie n’est pas moins attristée que Trump, mais il faut comprendre qui a poussé à bombarder l’Ukraine.

Dans un entretien avec le correspondant de Pravda.Ru, Dmitri Novikov a répondu à Donald Trump qui avait exprimé sa tristesse face aux frappes aériennes russes sur l’Ukraine.

La Russie ne prend aucun plaisir à frapper le territoire ukrainien, mais ces actions sont devenues une mesure nécessaire dans le contexte de la politique occidentale. C’est ce qu’a déclaré Dmitri Novikov, député à la Douma et premier vice-président de la commission des affaires internationales, en commentant la déclaration de Donald Trump sur sa « tristesse » face aux frappes aériennes russes.

Plus tôt, Trump, s’adressant aux journalistes, avait déclaré que les frappes aériennes russes sur l’Ukraine lui inspiraient « tristesse » et « dégoût ». Il a souligné qu’il s’agissait de « la guerre de Biden, pas de la mienne ». En outre, Trump a évoqué la possibilité d’imposer de nouvelles sanctions contre la Russie, mais a exprimé des doutes quant à leur efficacité. Il a ajouté que la décision concernant les sanctions serait prise dans les huit jours.

Selon Novikov, la Russie elle-même éprouve de la tristesse à cause de la nécessité de frapper l’Ukraine. Cette mesure forcée, selon lui, est la conséquence des actions de l’Occident, qui a sapé les relations entre la Russie et l’Ukraine pendant des décennies.

« Je suis moi-même attristé par le fait que nous soyons obligés de frapper l’Ukraine. Et cette tristesse est la conséquence d’une autre tristesse. Elle est causée par le fait que l’Occident est prêt à soutenir les régimes les plus réactionnaires », a déclaré le parlementaire. Il a rappelé que la Russie avait tenté à plusieurs reprises de résoudre le problème par la voie diplomatique, notamment en proposant de réduire les tensions à ses frontières.

« Nous sommes attristés que la Russie n’ait pas été entendue lorsque, quelques mois avant le début de l’opération militaire spéciale, le ministère russe des Affaires étrangères a proposé tout un ensemble de mesures visant à réduire les tensions… afin de parvenir à des accords systémiques majeurs qui concerneraient la sécurité et le désarmement en Europe et dans le monde en général », a souligné M. Novikov.

Dmitri Novikov s’est dit convaincu que Donald Trump, en tant que dirigeant d’une puissance mondiale, devait comprendre les raisons de l’opération militaire spéciale russe.

Israël : Le génocide en cours oblige enfin le monde à choisir

Israël s’enfonce dans une spirale autodestructrice dont Gaza est le miroir le plus brutal. Ce qui se joue aujourd’hui n’est pas une guerre, mais un effondrement : moral, stratégique et politique. La famine de masse, les dizaines de milliers de morts, les frappes ciblant les civils, les ONG empêchées d’agir, les journalistes réduits au silence : rien de tout cela ne relève d’un accident de guerre. Tout relève d’un choix.

C’est un choix assumé. Un choix qui isole Israël, le place en rupture avec le droit international et le pousse vers un point de non-retour.

La stratégie du chaos, souvent présentée comme un levier géopolitique, n’est ici qu’un masque. Elle ne change pas les règles du jeu : elle révèle l’effondrement d’un mythe — celui d’un État pouvant exister durablement tout en niant les droits fondamentaux d’un peuple voisin, en poursuivant une colonisation sans fin, en bombardant des civils, et en dissimulant ses actes derrière une rhétorique sécuritaire. Ce n’est pas une stratégie de survie. C’est une mécanique de destruction.

Et c’est l’insupportable génocide en cours qui précipite cette chute. Il ne laisse plus de place au doute, ni à la neutralité. Suite ...

Hervé Poly, Liberté Actus.

Une « révolution propre » dans la transformation du charbon ?

 

Des chercheurs russes, mongols et chinois ont mis au point une technologie innovante qui transforme le charbon en matériaux de haute valeur, tout en réduisant drastiquement son impact environnemental. Une avancée majeure pour une ressource tant décriée qu’utilisée à travers le monde.

Oubliez la combustion polluante du charbon. Une équipe internationale de scientifiques, menée par le Centre scientifique de Krasnoïarsk de l’Académie des sciences de Russie, propose une alternative radicalement différente : dissoudre le charbon dans un liquide spécial, puis le chauffer à environ 380 °C. Ce procédé chimique innovant permet de décomposer le charbon en un concentré d’hydrocarbures polyaromatiques, des composés précieux pour l’industrie des matériaux avancés.

Le taux de conversion atteint jusqu’à 97,5 %, un record dans ce domaine. Le choix du solvant joue un rôle clé : le goudron de houille, par exemple, permet d’obtenir un matériau particulièrement aromatique, résistant à la chaleur et chimiquement stable. Ces propriétés sont idéales pour la fabrication de fibres de carbone, utilisées dans l’aéronautique, l’automobile ou encore l’électronique.

Une alternative durable à la combustible

Au-delà de ses performances techniques, cette méthode se distingue par ses bénéfices environnementaux. Elle génère très peu de déchets – moins de 8 % – et limite fortement les émissions de substances nocives. Le niveau de benzo[a]pyrène, un agent cancérigène présent dans les procédés traditionnels, est significativement réduit. En prolongeant le temps de traitement, il est même possible de l’abaisser davantage.

Cette technologie ouvre ainsi une voie durable pour l’industrie du charbon, en valorisant cette ressource fossile dans des applications de haute technologie plutôt que dans des usages énergétiques polluants.

Même si le procédé est prometteur au laboratoire, le passage à une production industrielle rentable reste un défi. La consommation d’énergie, le recyclage des solvants et la gestion des sous-produits doivent être évalués pour confirmer la réduction réelle de l’impact environnemental.

Hervé Poly , Liberté Actus

B'TSELEM ONG ISRAÉLIENNE

« NOTRE GÉNOCIDE. Israël commet un génocide à Gaza. Ça paraît inconcevable. Mais c'est la vérité. Israël mène une action délibérée et coordonnée pour détruire les Palestiniens de la bande de Gaza. Les déclarations explicites des responsables israéliens, combinées à une politique constante d'attaques destructrices et autres pratiques d'annihilation, prouvent sans l'ombre d'un doute que la cible d'Israël est l'ensemble de la population de Gaza. Des villes entières rasées ; des infrastructures médicales, éducatives, religieuses et culturelles systématiquement détruites ; deux millions de Palestiniens déplacés de force dans le but de les expulser de Gaza ; et, bien sûr, une famine et des massacres de masse : tout cela constitue une tentative explicite de détruire la population de Gaza et d'imposer des conditions de vie si catastrophiques que la société palestinienne ne peut plus y survivre. C'est la définition exacte du génocide. Le rapport que nous publions aujourd'hui est un avertissement : l'idéologie qui anime le régime israélien ne se limite pas à Gaza. Le même régime, la même armée, les mêmes dirigeants et les mêmes commandants mettent en œuvre des pratiques extrêmement violentes contre les Palestiniens en Cisjordanie, y compris à Jérusalem-Est, et en Israël. Nous constatons déjà que les pratiques israéliennes à Gaza se propagent à d'autres régions – à une échelle différente, mais guidées par la même logique. En Cisjordanie, cela prend la forme de frappes aériennes, de démolition de camps de réfugiés, d'expulsions massives et de destruction délibérée de l'économie et de la société palestiniennes. Aucun Palestinien vivant sous le régime génocidaire israélien n'est en sécurité. Rien ne justifie le génocide – ni la « légitime défense », ni la « sécurité », ni les actes odieux commis par le Hamas le 7 octobre 2023, qui ont suscité une profonde peur existentielle chez les Israéliens. La communauté internationale a non seulement failli à son devoir de mettre fin aux atrocités, mais les dirigeants occidentaux, en particulier les États-Unis et l'Europe, en portent également la responsabilité en apportant un soutien qui permet à Israël de commettre ses actes de destruction. Il est du devoir de la communauté internationale de mettre fin au génocide perpétré par Israël à Gaza. Sur les réseaux sociaux, nous voyons des images de personnes ensevelies sous des bâtiments bombardés, de camps de personnes déplacées en feu, d'enfants affamés, de personnes manquant désespérément d'eau, et d'hôpitaux incapables de soigner les blessés et les malades. En tant qu'organisation de défense des droits humains, il est de notre devoir et de notre responsabilité de dire la vérité : un génocide est en cours, ici et maintenant. C'est notre génocide, et nous devons y mettre fin. »

 

 

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